Vidéo de présentation: l'outil de comm' le plus puissant.

(A partir de maintenant, je tutoie. Parce qu’il y a trop de moi dans cette formation et je ne me donne pas entièrement à quelqu’un que je vouvoie.)

Bienvenue à la formation à la fois la plus succincte et la plus complète du marché francophone sur le storytelling à l'ère numérique. Je suis ému de te voir ici. Tu n'imagines pas à quel point c'est important pour moi. Je suis d'autant plus heureux que ça l'est pour toi aussi.

Qu'on le veuille ou non, on vit à l'époque de la sacro-sainte narration. Que celui ou celle qui raconte la meilleure histoire gagne !

Bien sûr, le récit ne fait pas tout... Une bonne communication, c’est du contenu pertinent dans un contenant élégant. Le contenu, c’est ton offre, ta proposition de valeur, ton idée. Le contenant, c’est ton histoire. Et on va voir comment la raconter.

Pour mieux profiter de la formation, qui est surtout écrite (je suis rédacteur) mais qui comporte aussi quelques éléments d'interaction (genre des quiz), suis les étapes dans l'ordre et indique que tu as complété une étape avec le bouton en bas de page (plutôt que de cliquer sur la colonne de gauche ou en haut sur portable). Enfin, ne quitte pas le programme en cliquant sur "quitter le programme", sinon tu vas perdre tes accès - que je peux toujours te redonner mais c'est embêtant pour toi - et aussi ta progression.

Ce que tu t’apprêtes à découvrir, c’est du jamais lu.

Je n’exagère rien.

Moi, le storytelling, je ne l’ai pas appris dans les livres de marketing. Il s’est imposé à moi dès mes débuts dans le métier. Et ne m’a jamais lâché. Je l’ai apprivoisé en pratiquant durant 6 longues années sur le wild wild web, là où les réactions sont immédiates et impitoyables.

Alors j’ai vite repéré ce qui fonctionne. Spoiler: tu ne vas pas l’apprendre dans les grands ouvrages sur le storytelling et encore moins sur LinkedIn, où les créateurs, à quelques rares exceptions près, se contentent de répéter ce qui se trouve dans ces ouvrages. Pour une raison toute simple: le format numérique ne se prête pas à l’écriture d’un roman ou de l’arrivée d’un nouveau prophète.

Internet a ses propres règles.


Ce qui fonctionne, ce ne sont pas les grands récits qui suivent tous la même formule mais les petites histoires emplies d’humanité.

C’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Bonne, parce que ressembler à un robot sera bientôt dépassé (on craint l’humanisation des robots mais la plus grande menace, c’est la robotisation des humains). Mauvaise, parce que ça demande autre chose que d’appliquer bêtement une formule. Ce que ça demande, c’est une certaine aptitude: celle de savoir ralentir pour repérer les histoires qui valent la peine d’être racontées. Puis de les travailler, jusqu’à les rendre assez intéressantes pour les partager avec de vrais humains et s’exposer à leurs réactions.

Flippant, je sais.

10 000 mots pour une demi-heure et plus si affinités.


Ton temps est précieux. Je suis ravi que tu m'en accordes un peu et sache que j'ai fait mon max pour honorer ce don.

C'est pourquoi ce cours est composé d’à peine 10 000 mots. Il se lit en 30 minutes. Tu peux soit te contenter de le parcourir et de pratiquer un peu et c’est déjà très bien. Tu seras un meilleur storyteller que la majorité de tes concurrents. Tu peux aussi passer du temps sur tous les exercices et revenir aussi souvent qu’ils te sont utiles. Dans ce cas-là, ce cours peut te servir durant 6 mois, une année ou même une vie.

Si c’est possible qu’un cours puisse t’apporter beaucoup en 30 minutes et énormément en une année, c’est parce qu’il contient ce que j’appelle l’essence du storytelling. Rien d’autre. Pas de blabla, que du concret.

Un programme qui monte en gamme...

  • La 1re partie - l’art du storytelling - a pour but de te transformer en storyteller en t’apprenant à repérer les 4 types d’histoires courtes que les internautes adorent écouter ou lire. Tu verras que ce qui fait l’étoffe d’un leader est aussi ce qui fait celle d’un storyteller.

  • La 2e partie - le business du storytelling - est une phase exploratoire pour trouver tes histoires les plus vendeuses. Celles qui vont te servir à capter l’attention, créer un lien et persuader ton audience que ta proposition est la seule qui vaille sur le marché.

  • Enfin, la 3e partie te révèle comment structurer une courte histoire et surtout comment générer des émotions de toutes pièces pour créer l’impact voulu et toujours savoir quoi dire dans n’importe quelle situation. Tu y verras notamment la différence entre Walter White et un narcotrafiquant de base - cette différence étant la même qu’entre un entrepreneur inspirant et un vendeur détestable.


En conclusion, je partagerai avec toi un dernier exercice pour créer l’outil de persuasion le plus puissant du marché en faisant de ton unicité ta plus grande force.

Parce qu’être meilleur c’est bien, mais être différent, c’est mieux.

Je passe à la prochaine leçon